Le blog de la Boite A Truc

Google bouge, le SEO tremble

En effet, depuis le 2 ou 3 septembre, il semble que l'on assiste à une mise à jour de l'algorithme de Google.
Pour les néophytes en référencement ( mais comment êtes vous arrivés là ?) google s'amuse avec les nerfs des agences de référencement depuis sa création ou presque. Mais il faut reconnaitre que les dernières années furent particulièrement éprouvantes pour la communauté SEO qui a dût affronter le zoo des filtres et sanctions googlesques.

Parce qu'il est des moments où il faut ABSOLUMENT lâcher prise au risque de ne plus pouvoir suivre la folie du monde du web ensuite, voila le moment de vous dire BONNES VACANCES.

Boutique en ligne

L'agence La Boite A Truc réalise quelques site internet de vente en ligne.
Ces boutiques en ligne font parties de ce que l'on appelle le e-commerce. Les objectifs restent très variables selon les clients qui souhaitent "vendre en ligne"
Pour certains, c'est effectivement une priorité avec l'obligation de réaliser un fort pourcentage des ventes via le nouveau canal web.
Pour d'autres, ils s'agit d'une force d'appui, ne demandant qu'à grossir, mais non encore fondamental pour l'équilibre financier de la société.
Enfin, d'autres clients veulent un site internet qui "vend" aussi, mais dont la fonction est très Web-to-store.
Nous avons le plaisir de connaitre ces 3 profils parmi les sites réalisés par l'agence.

Le bon nom de domaine

Les noms de domaine en général ont toujours été source de longues discussions entre l'agence et les clients lors de la création d'un site internet.

Ces discussions sont souvent source d'incompréhension.

• Tout d'abord sur le fait qu'un nom de domaine peut-être différent du nom exact de la société.
• Ensuite, et cela est encore plus vrai en local, que certains noms choisis pour leur sens, sont sources d'erreur énormes dans la retranscription orthographique ( le fameux  Ochju di Mare ou autre)
• Mais aussi parce que il est parfois difficile de faire admettre que le nom qui semble le plus pertinent est déjà pris, avec ou sans tiret, en .com .fr ou .net. Et que le poser en .xyz n'est pas forcément une bonne idée, surtout si les .com ou .fr font la même activité que vous.
• Parce que, malgré une idée très répandue, cela n'est pas forcément judicieux d'en acheter plusieurs et de les rediriger, surtout que cela ne sert à rien en terme de référencement ( mais au moins, personne ne les achète à votre place)
• Enfin, parce que dans une période où de très nombreux référenceurs cherchent à récupérer des noms de domaines expirés, la recherche du bon nom disponible devient une véritable quête.

 

Et c'est là qu'interviennent les extensions TLD.

Le récent article de Noel Ngessan sur son site Arobase.net reprend cette notion de nom de domaine de premier niveau et développe des idées très proches de ce nous en pensions, a quelques bémols près (lire son article)  

C'est vendredi, et comme vendredi dernier, n'est pas le meilleur jour qui soit,professionnellement parlant.
Mais, là encore, comme la semaine passée, une petite perle sur le web vient ramener plaisir et sourires avant un week-end qui devrait être sportif.
Voici un post du blog qui n'est pas très web mais nous ne sommes pas que binaire non ?
 

L'engagement peut-être beau et utile.

Cela fait plusieurs semaines que le pays se déchire. Voila quelques jours que le litre d'essence est devenu le bien le plus précieux, au point de le sur-stocker, au cas où...( un peu comme ma grand mère l'aurai fait avec le sucre ou les pâtes en temps de guerre).

Après avoir partagé quelques heures de la formidable aventure "du flocon à la vague", mercredi, dans les montagnes de notre île, le retour fut bien rude, la radio annonçant le blocage du carburant en Corse. 
Pourtant, quelques heures plutôt, j'étais au milieu des hêtres et des pins laricci, regardant certains des plus grands sportifs français plonger dans une eau à 10 ou 12 degrés, mais rire et s'émerveiller d'être dans un lieu si "pure" et calme.
J'étais là à regarder mon fils plonger avec eux, rire et feindre l'indifférence blasée du local ( ben ouais, c'est cool) tout en comprenant combien il doit être fier de profiter de ces moments.
J'écoutais mon père, ancien enseignant jamais avare de partage du savoir, expliquer, sous un beau soleil de mai, à une concentration unique de champion du monde, de médaillés olympiques, de Xgame winner, de marins émérites , leur expliquer donc que la Corse est l'île de méditerranée où il pleut le plus, mais pour autant, annoncer de vrais problèmes d'eau dès les mois de juillet.
3 générations qui partagent un moment de plaisir, avec des mecs et des filles hors du commun mais qui s'emballent eux, pour ce trio générationnel, passionné.
 

Après avoir passé une partie de la journée sur Skype à discuter avec deux experts SEO de la région lyonnaise ( décidément, sacré spot par là-bas) j'en reviens toujours à la même remarque : il bossent beaucoup ( et très bien) pour leurs clients respectifs aussi parce qu'ils ont pris le temps de bien bosser pour eux. Aussi logique comme remarque qu'il est facile de balancer l'histoire du cordonnier mal chaussé...

Bref, ce soir, je bosse pour moi.
Et depuis le temps que j'ai gardé sous le coude 3 ou 4 sujets très importants à traiter mais jamais écrits comme un vrai rédacteur web se doit de la faire ( auto promotion dût à l'heure tardive).
Bref, me voila parti sur la thématique principale du nouvel axe du site.
Et comme j'ai parlé de tout cela presque non stop depuis plusieurs jours, les mots s'enfilent telle des perles pour arriver à déjà 3 puis 4 sujets respectant mes besoins de mots clés, netlinking interne, logique de backlink déjà préparée ( sur des tops spots en TF40 et plus....)

Bref le temps de rédiger tout ça, de lier un peu et hop c'est publier. Le premier l'est à 21h40, et suivant. 
J'ai même le temps d'écrire mon petit coup de gueule de la semaine sur cette antique remarque de la difficulté de comprendre internet, de cette vision de notre métier comme d'une "Usine à Web" (et plus à gaz), la complexité se déplaçant vers maintenant vers le monde du référencement naturel.

Depuis la mise en place de la version responsive design du CMS Wmaker, nous rencontrions un "léger" bug d'affichage. Cela ne concernant que les versions "Responsive" puisque la version dite "Adaptive" est constituée d'une maquette à part entière pour le mobile et le tient donc pas compte des règles de la version desktop.
Lors du la création de certain site internet, le choix design du client réclamait des sites s'affichant sur des largeurs différentes du standard de 980 pix.

Ainsi certains sites récents ont été imaginé avec des largeurs de 1032 pix ( Les Eaux Saint Georges) , 1200 pix ( le dernier site de l'hôtel Costa Rossa) ou autres tailles encore allant de 960 à 1200 pix de large.
 

Perte de pixel sur Ipad

L'affichage sur Ipad rencontrait alors un vrai défaut. 
De façon très curieuse, les pix supplémentaires au 980 ( 1200 - 980 = 220 pix = beaucoup !) décalaient l'affichage du site depuis la partie droite de l'affichage.
Ce problème existe sur d'autres CMS et pas exclusivement sur Webzine. Les différents messages trouvés sur des forums montrent que d'autres webmaster se sont creusés la tête sur ce défaut d'affichage.

 

C'est une histoire qui commence par le biais de la communauté Wmaker, utilisant le méconnu CMS made in Corsica.
Méconnu mais disposant tout de même de 5000 clients répartis partout dans le monde.
Et parmi eux, Philippe a des interrogations sur son référencement naturel.
Après un premier contact afin de réaliser l'audit SEO de son site internet, la discussion s'engage sur la relation entre l'experience utilisateur et le SEO, sur la capacité de Google à analyser ce que fait l'internaute arrivant sur le site internet (l'analyse du taux de rebond n'étant sans doute qu'un détail) et plus généralement le besoin de l'internaute d'y voir clair dans le site qu'il visite.

Ainsi Gazonzen est une boutique en ligne qui vend des robots tondeuses.
Comme nous avons travaillé sur son référencement naturel, nous avons quelques idées des mots clés, des concurrents, des positions gagnables etc...mais aussi quelques conseils sur la refonte de ses pages.

Aprés avoir passé quelques minutes sur la video SEO du Mercredi de Sylvain Richard, je me suis intéressé comme à chaque fois aux commentaires laissés et plus particulièrement celui de "Jimmy" parlant de son expérience Post Pinguin" et de l'utilisation des réseaux sociaux, un commentaire intéressant et plutôt dans la tendance "il y une vie possible après le zoo de Google".
Forcément, le clic sur le nom n'est pas anodin et il amène à la page Facebook ( Axenet ne permet des liens que vers les pages sociales) d'Espace Musculation.

Précisons tout de suite que même si j'essaye de m'entretenir sportivement, le monde de la musculation est assez éloigné de mes préoccupations. De même, il est important de préciser que cet article n'est pas du guestblogging ou tout autre type de commande d'échange de liens, mais juste un petit billet sur une vision de la combinaison SEO/Content/Social qui m'a particulièrement convaincu ( et donc des vrais liens en DF)
Ce billet est donc plutôt destiné aux lecteurs et clients dubitatifs quand on leur explique l'importance "d'écrire et d'expliquer" sur leur site internet avec de se lancer à corps perdu sur une page Facebook.

Depuis quelques années, les demandes de nos clients etourisme ont beaucoup évolué.
Et à la veille de recevoir dans nos bureaux 20 étudiants de l'université de Corse, en licence de tourisme, nous nous sommes un peu penché sur ces années passées et les évolutions fortes des pratiques touristiques engendrées par l'évolution digitale.
Nous avons déjà évoqué sur ce blog le rôle du mobile, l'importance du 2.0 (interaction) et le changement de ton qu'il faut selon nous apporter à votre site. 
Mais il est des éléments externes qui interviennent tout autant que votre site internet et parmi ceux ci les avis clients.
Passés de la contestation simpliste et désabusée à la maîtrise de l'outil est devenue une règle absolue pour les pro du tourisme qui veulent progresser via leur note TripAdvisor.

Que l'on aime ou pas le système TripAdvsior ou plus généralement les avis clients, il faut reconnaître qu'ils sont devenus la règle dans le monde du etourisme. Les études les plus récentes montrent que près de 80 % des futurs acquéreurs tourisme lisent et surtout cherchent des avis sur le web.
Booking.com par exemple indexe la présentation de son site et l'ordre d'apparition en partie avec la note client ( sans oublié le taux de commission et la capacité d'hébergement laissé). Air BnB joue totalement sur la mise en relation entre hôtes et visiteurs. Abritel a d'ailleurs suivi le pas. Le guide Michelin, référence des avis gastronomiques "pro et réfléchis" a ouvert son site aux avis des particuliers afin de rester dans la tendance.
Tous courent après cette interaction avec le client, qui en plus de donner son avis, mettre une note et conseiller ou pas à ses amis de fréquenter l'établissement noté, ce client donc participe de façon induit au référencement du site par l'apport de contenu nouveau, frais, pertinent et lus...

La note de votre hôtel est donc devenu un élément fondamental de votre développement ! Et même s'il existe de plus en plus d'outils permettant d'importer ces avis dans votre site, les mastodontes règnent encore en maître, et leur roi s'appelle TRIP ADVISOR.
 

Alors, bien ou pas bien ?

La remarque négative première que font tous les hôteliers au sujet de ce site d'avis est qu'il est trop ouvert et anonyme !
Et ils ont raison ! Aucun contrôle au préalable ne permet de vérifier votre identité réelle, ni le fait que vous ayez réellement séjourné dans l'hôtel commenté.
Mais une fois ce postulat posé, TripAdvisor est là, il existe, il règne, il décide...donc vous devrez vivre avec, alors autant bien l'utiliser non ?

Bon, cela commence bien sûr par une remarque préalable de base : 
Si 99 % de vos avis (et si le nombre d'avis est conséquent bien sûr) sont négatifs voir très négatifs, ce n'est sans doute pas parce que quelqu'un vous veut du mal ! Il y a là de quoi réfléchir sur votre hôtel, sur la cuisine de votre restaurant ou sur votre accueil dans votre commerce. 
 

On peut tromper 1 personne mille fois mais on ne peut pas tromper 1000 personnes une fois

ou

On peut tromper une fois mille personne mais pas mille fois une personne *

Une fois cette réflexion passée, nous imaginons donc que votre établissement correspond à la bonne moyenne des normes d'accueil, de confort et de qualité de prestation de votre marché concurrentiel.
A partir de là, revenons à notre sujet principal :

Comment bien se servir de TripAdvisor quand on est hôtelier ?

Puisque les clients vont vous noter et partager leur jugement de façon publique, ils vont devenir vos ambassadeurs (positif ou destructeurs) en parlant à tous de l’expérience vécue au sein de votre hôtel.

Profitez-en grâce à quelques règles simple s'appliquant parfaitement au marketing hôtelier.
Elles ont pour but d'améliorer nettement votre note et donc "normalement" vos visites puisque l'ordre d'affichage est énormément lié a cette fameuse note.
Mieux vous êtes noté, plus haut vous apparaissez et plus vous générez des visites vers votre établissement ( d'ailleurs contrôlez vous l'origine de vos visites internet ?) 

Voici quelques conseils utiles pour obtenir plus d’avis sur votre hôtel.

Il y a 2 moments où vous pouvez interagir avec votre client pour les inciter a vous laisser un note : pendant leur séjour et après leur séjour.

2015, l’année de l’évolution, voire de la révolution pour La Boite A Truc.

Une année des plus chargée, même si j’ai l’impression de me dire cela chaque mois de décembre, et peut être même chaque mois de l’année.
Mais cette année est aussi celle qui a marqué le plus de tournants, plus ou moins bien négociés, qu’a jamais connu la petite agence.

Nous nous sommes livrés depuis un mois à un petit exercice type de rédaction de contenu en interne pour approfondir et améliorer les connaissances de l'équipe en terme de content marketing.
Et quoi de mieux que le site Corsicamore pour nous permettre de jouer avec les produits corses à offrir pour noël.
Un exercice pas si simple car totalement dénué d'intérêt économique immédiat ( aucune commande de nos clients/partenaires) juste la volonté d'essayer d'écrire avant tout pour l'internaute et non pas pour Google ( qui a priori n'a rien commandé de Nustrale cette année)